1. |
Kaatunga
04:16
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-Refrain-
Kaatunga Qiuliqtunga
Recoller les morceaux
Un vent froid dans le dos
Un vent froid dans la peau
Placer le mot de trop
Ce qui se passe là-haut
Ne concerne pas les autres
Je t’entends déjà dire je m’en vais de la maison
Oui je sais, que t’as raison
Atso, Akea
-Refrain-
Les jours se perdent comme les adieux
Les pierres se cassent sur ce qu’on a vu de mieux
Un dernier tour avant l’aube
Pour effacer
Recommencer
Détruire tout avant l’autre
Je t’entends déjà dire je m’en vais de la maison
Je t’entends déjà dire
Je t’entends déjà
Kaatunga
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2. |
Sortir Dehors
04:04
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Les idées fusent plus vite que l’entendement te le permet
Et depuis que les nuits sont courtes
Les moments de répit se font assez rares
L’effroi qui s’attarde
À retenir ton corps bien au sol
Qu’est-ce qui t’empêche de tout laisser ici
Pour mieux disparaître ?
-Refrain-
L’air est presqu’aussi lourd
Que les gouttes qui te perlent sur le nez
Et déjà tu faiblis à l’idée de sortir dehors
Le silence est presque aussi sourd
Que ceux qui t’entourent
Et qui t’empêchent de fendre le décor
Sortir dehors
Le sang te monte à la tête
C’est fou toi, tout ce qui t’arrête
Les vagues, les chaleurs
La poussière et la noirceur
Le nœud se resserre et tu meurs
À chaque impasse 2 solutions
Tourner la page, tourner en rond
Plus tu penses
Rien n’est sûr
Créer l’absence, lever l’hameçon
Les jours sont longs, longs, longs.
Tu vois l’enfer dans tout ce qui est étranger
Le temps se perd du plafond au plancher
La tête à l’envers
La tête à l’envers dans le mur encastré
Tu dormiras plus tard ...
-Refrain-
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3. |
Tout ce vacarme
03:20
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Nous partirons plus loin
S’accrocher à ce qu’on aime
S’y menotter de doubles chaînes
Éternellement inassouvis
Les pieds dans le vent
Toujours mieux s’envoler ailleurs.
Je les entends déjà
Te mettre en garde contre moi
N’écoute pas
Et s’ils s’en faisaient pour rien
Après tout
-Refrain-
Mais on s’en fout
Et mon sourire qui s’enflamme
De ce flou
Le vent qui sèche mes drames
La vitesse du temps qui s’acharne
Tout ce vacarme
Battements de mon corps
Dans la ville qui s’endort
Plein d’essence, plein d’échos
Plein de sens, plein de beau
Et si jamais
Il pleut ?
J’aurai bien fait d’accrocher mon parapluie bleu
Et s’ils s’en faisaient pour rien
Après tout
-Refrain-
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4. |
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Hey, ça va?
Me semble que ça fait une éternité qu’on s’est pas vu !
Qu’est-ce que tu fais de bon ?
Qu’est-ce que t’es devenue ?
T’as changé tes cheveux!?
Mmmmm...
Tu débarques à quelle station?
Jean-Talon.
Ben pis sinon quoi de neuf ?
T’as tu une job ?
Ah, t’es à l’école.
T’as tu un chum ?
Non!?
Ah bon...
-Refrain-
C’est quoi déjà ton numéro?
Il faudrait faire de quoi bientôt
Hey ça va?
C’est quoi les chances ?
Deux fois en 2 jours !
J’avoue...
J’ai rêvé à toi.
Mais je peux pas te dire c’était quoi. C’était quoi?
Quoi.
Ah fuck...
Si t’es pas trop occupée,
Genre ce soir ou demain ?
Non, ce soir.
On pourrait boire du vin cheap, vite, tard.
-Refrain-
Ta peau, ton parfum...
Ta bouche...
Ton cou, ton dos, tes hanches...
Tes fesses...
-Refrain-
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5. |
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Je voudrais mieux y voir
Mais tes doigts qui me guident
Deviennent mon chemin
J’ai pas trop voulu y croire
Mais les moments scintillent
Et deviennent lendemains
Ton regard me chavire
Et on laisse nos verres
Dans le bar orphelin
Quand la lumière sera close,
C’est qu’il faudra se taire
Que ton corps s’élève encore
Au-dessus du mien
Pis la lumière de shut down baby
Pis toute la planète d’être aux aguets
Pis nos deux voix de s’taire au moment précis
Pis le silence d’être parfait
Le whole spot est brûlant, real brûlant
On a pull up dans une bulle pretty dirty baby
On était solo dans la place,
Tous nus dans l’appart
Comme si tout l’monde nous regardait
Baby I’m out of my mind, baby I’m out of my mind
Baby I’m Hollywood Hogan quand j’soulève ton corps dans les airs
Baby I’m hors de moi-même, baby I’m hors de moi- même
Complètement high, ah ouais my lady tu m’montres comment faire
Aweille-donc, aweille-donc
And it feels so fucking right
Fucks given en fucking baisse
On a fermé les fucking lights
Quand la lumière sera close,
C’est qu’il faudra se taire
Que ton corps s’élève encore
Au-dessus du mien
Tu tiens au creux de tes mains
Comme un second souffle
Quand la lumière sera close,
C’est qu’il faudra se taire...
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6. |
Haut de Gamme
04:08
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Batterie, Basse, Guitares, Percussions, Piano, Synths & Voix par La Famille Ouellette.
Voix : Judith Little, Marilise Aubry, Allyson Pétrin, Ariane Zita P.-Castonguay & Carmel Scurti-Belley.
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7. |
Jogging
03:50
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C’est comme courir dans l’espace
Respirer l’air du temps
Je sais pas ce qui se passe
J’ai comme des papillons en dedans
-Refrain-
J’ai brisé la glace
Le froid dans les yeux
Regardé en face
Ton sourire me réveille
Tes jambes éternelles m’appellent
Le soleil sur ta peau
Tu me donnes chaud
Tellement chaud
Aaaaah !
Ton t-shirt mauve qui vole au vent
Je m’enfarge dans tout le monde
Je te regarde tout le temps
J’ai mal partout, mais j’suis content
J’aimerais te le dire mais je sais pas comment
-Refrain-
Déjà 2 bières que je bois j’suis feeling
Prochaine étape j’mets ma main sur ton legging
Si tu pouvais me voir
Si j’osais venir m’assoir
Faudrait avant qu’il soit trop tard
Si la lune était pleine ce soir
Si je t’envoyais des fleurs
Un bouquet toutes les heures
Aurais-je une lueur d’espoir?
Trop tard
Il est trop tard
Beaucoup trop tard
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8. |
Monochrome
04:34
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Essayer d’entasser dans la pellicule
Les souvenirs parsemés de flou
Qui ne reflètent en rien la plénitude
Du moment qui déjà s’est envolé
Bien trop grands de toute façon pour le cadre sur le mur
Sur lequel la poussière s’est accumulée
C’est pas parce que mes humeurs sont funambules
Que je dois les rattraper
-Refrain-
Je ne les reconnais pas
Je ne les reconnais plus
Les visages s’abîment
Comme les souvenirs
Accrochés
Sur les murs
Essayer d’entasser dans le coin l’usure
Pour essayer de me changer les idées
Elle ne reflète en rien les certitudes
Bien trop grandes de toute façon et bien trop obscures
Diffcile pour la poussière de retomber
C’est pas parce que mes humeurs sont funambules
Que je suis obligé de les rattraper
-Refrain-
Ma tête sous les épaules et le cœur au-dessus
Je ne me souviens pas, je ne me souviens plus
Perdu quelque part, en terrain connu
Je ne me souviens pas je ne me souviens plus
Ma tête sous les épaules et le cœur au-dessus
Perdu quelque part, en terrain connu
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9. |
M'empecher
03:49
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J’peux pas arrêter de penser à toi
J’peux pas m’empêcher de me panser de toi
T’es tellement loin
Que je te vois à peine
Du bord du précipice
Tu m’envoies la main
Ton silence d’or, tes mots figés
Que c’est fort te contempler
Tu me cries : Saute! Saute!
-Refrain-
And it goes on
And on,
And on,
And on
Mmmm
There’s a place I go
To surrender
There’s a place I go
There’s a place I know
-Refrain-
Mmmm
And it goes on
Et ça recommence, commence lentement
Et ça recommence, commence maintenant
Et ça recommence, commence lentement
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10. |
Ce ne sont que des mots
04:18
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J’aurais dû
Si j’avais pu
Seulement
Un instant
Rester / Garder
J’aurais su
Tranquillement
Pour enfin
Finalement
Rester / Garder
Et pouvoir
J’en ai marre
C’est trop tard
Sans devoir
Aller
Et les meubles
Et le feu
Et tes yeux
C’est le refrain que je veux
Et le pieu qui te courbe le dos
Et les aveux qui sonnent faux
Oui c’est beau, oui c’est beau
Mais c’est trop, mais c’est trop
Tous ces mots,
Ce ne sont que des mots.
Ce ne sont que des mots
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La Famille Ouellette Montreal, Québec
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Bon appétit!
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